Le Brut moyen-anglais en prose (version commune des origines à 1333)
Traduction française
Marie-Françoise Alamichel
- Pages: 571 p.
- Size:156 x 234 mm
- Language(s):French, Middle English
- Publication Year:2016
- € 115,00 EXCL. VAT RETAIL PRICE
- ISBN: 978-2-503-56760-0
- Paperback
- Available
- € 115,00 EXCL. VAT RETAIL PRICE
- ISBN: 978-2-503-57525-4
- E-book
- Available
« À la lecture de cet ouvrage, on ne peut qu’espérer que M.-F. Alamichel poursuive ce travail minutieux et nous propose de nouvelles traductions, aussi riches, aussi documentées que celle-ci pour que tout à chacun, chercheurs comme passionnés éclairés, puisse découvrir ces textes oubliés, fondateurs de nos sociétés. » (Nolwena Monnier, dans Cahiers de civilization médiévale, 59, 2016, p. 454)
« À la lecture de cette traduction, on ne peut qu’ espérer que M.F.A. poursuive ce travail minutieux et nous propose de nouvelles traductions, aussi riches, aussi documentées que celle-ci pour que tout un chacun, chercheurs comme passionnes éclaires, puisse découvrir ces textes oublies, fondateurs de nos sociétés.» (Nolwena Monnier, dans Le Moyen Âge, 124/2, 2018, p. 431)
Le Brut moyen-anglais en prose (version commune des origines à 1333). Traduction française de Marie-Françoise Alamichel
Près de 200 manuscrits du Brut en prose moyen anglais nous sont parvenus soulignant ainsi l'extraordinaire popularité de cette œuvre. Le présent ouvrage est la traduction française de sa première partie qui s’achève en 1333 avec la bataille de Halidon Hill. Elle est accompagnée de la reprise de l’édition du texte d’origine par F. Brie pour l’EETS. Une longue introduction, une cinquantaine de pages de notes et un double index viennent compléter le volume.
L’ouvrage sera utile aux historiens qui trouveront ce que les Anglais des XIVe et XVe siècles avaient choisi de retenir de leur passé national. Les littéraires pourront s’attarder sur les moyens rhétoriques et de propagande de ce récit engagé. Le plus grand public, enfin, découvrira un récit aux multiples facettes qui montre que la construction de l’identité nationale anglaise reposait à la fois sur l’Histoire et l’imaginaire – mythes troyens et arthuriens, prophéties de Merlin, miracles chrétiens. Ce mélange fait tout l’intérêt de ce texte fondamental de l’Angleterre médiévale.