Depuis les travaux de Paul Monceaux, au début du XXe siècle, le corpus hagiographique africain a évolué : il s’est enrichi de la découverte de nouveaux textes, alors que d’autres documents ont dû être écartés. Une nouvelle synthèse complète sur cette littérature était nécessaire, et c’est donc un corpus mieux circonscrit, composé de trente actes et passions racontant le martyre de chrétiens entre le IIe et la fin du Ve siècle, qui est analysé dans cet ouvrage.